Avant d'affronter l'ASM avec Toulouse, Paul Costes a expliqué avoir été un grand fan de l'équipe clermontoise dans sa jeunesse. Une équipe qu'il aurait même pu rejoindre.
"Ne me demandez pas pourquoi, mais bien que né à Toulouse, j’ai longtemps été un supporter de l’ASM. Je ne pense pas avoir été influencé par la famille en plus. J’ai quelques souvenirs douloureux. J’ai pleuré en 2013 lors de la finale de Coupe d’Europe face à Toulon," a raconté Paul Costes dans une interview accordée à La Montagne.
En grand fan de Clermont, le joueur du Stade Toulousain a détaillé ce mauvais souvenir : "Je revois le "coucou" d’Armitage à Brock James. Même en 2019, alors que j’étais cadet au Stade Toulousain, j’ai pleuré après la finale perdue par l’ASM contre Toulouse. J’étais au stade, en tribunes, avec mon père."
Au-delà de ses souvenirs, Paul Costes a également confié qu'il aurait aimé s'engager avec l'ASM dans sa jeunesse : "Quand on est junior Crabos au Stade, comme c’était mon cas, on n’est pas trop amené à voir les pros. Je pensais déjà naturellement à une future carrière professionnelle, mais à Toulouse, j’étais loin de cet univers. J’ai demandé à mon père de m’amener à Clermont et l’ASM."
Déterminé à accomplir son "rêve", le fils d'Arnaud Costes a reconnu avoir été à deux doigts de rejoindre l'Auvergne : "C’est Aurélien Rougerie qui m’a présenté les infrastructures, m’a parlé de contrat « centre de formation" de 3 ans… Cela avait l’air très organisé. En sortant de cette visite, il n’y avait pas débat, je me suis dit, il faut que j’y aille"
Finalement, il n'en a rien été puisque le Français de 21 ans est finalement resté à Toulouse : "Et puis, le Stade Toulousain a su que je m’étais rendu à Clermont. Clément Poitrenaud et Ugo Mola sont venus me parler… Voilà, c’était un choix compliqué et au final, je suis resté au Stade. Aujourd’hui, je ne vais pas dire que je le regrette."
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